Louise Harel a confirmé dimanche sa volonté de briguer la mairie de Montréal lors des élections de 2013.
La chef de l'Opposition officielle et chef de Vision Montréal en a fait l'annonce à l'occasion du congrès du parti. Mme Harel et Vision Montréal s'étaient inclinés face à Gérald Tremblay et son parti Union Montréal en 2009. Députée de la circonscription montréalaise d'Hochelaga pendant 27 ans, Louise Harel fut plusieurs fois ministre sous différents gouvernements du Parti québécois, chef de l'opposition officielle, chef par intérim de son parti et la première femme présidente de l'Assemblée nationale.
Mme Harel s'est prononcée récemment pour la remise en question du nombre d'élus à Montréal, disant faire écho à une préoccupation quasi unanime des citoyens de la métropole. Un débat est nécessaire sur la présence des 103 élus à Montréal, bien que le gouvernement du Québec aura le dernier mot, a fait valoir Mme Harel. Elle a soutenu dimanche que Vision Montréal ne lance pas un débat sur les structures de la ville, mais plutôt "sur l'équité de services pour tous les Montréalais". "La population, dans sa très grande majorité, estime qu'il y a trop d'élus, trop de bureaucratie, trop de structures, trop de taxes", a-t-elle réitéré.
Marvin Rotrand, conseiller d'Union Montréal et leader de la majorité à l'Hôtel de Ville, a fait valoir, dimanche, par communiqué, que les citoyens ne veulent pas d'un autre "débat stérile" sur les structures et veulent plutôt entendre parler d'économie, d'infrastructures et de services. Outre la gouvernance, le congrès de Vision Montréal abordait des questions d'éthique, de développement social et économique, de transports, d'habitation, de culture et des projets en vue du 375e anniversaire de Montréal, en 2017. À l'invitation de Vision Montréal, les représentants de partis politiques provinciaux ont participé à une table ronde sur l'avenir de Montréal. Raymond Archambault, du Parti québécois, Jean-Claude Gobé, de l'Action démocratique du Québec et Françoise David, de Québec solidaire, avaient accepté l'invitation.
"Lors de la prochaine élection provinciale, les partis politiques ne pourront pas faire l'économie d'un débat sur la gouvernance de Montréal et nous entendons faire en sorte que ce soit un thème de la prochaine campagne", a déclaré Mme Harel.
Mme Harel s'est prononcée récemment pour la remise en question du nombre d'élus à Montréal, disant faire écho à une préoccupation quasi unanime des citoyens de la métropole. Un débat est nécessaire sur la présence des 103 élus à Montréal, bien que le gouvernement du Québec aura le dernier mot, a fait valoir Mme Harel. Elle a soutenu dimanche que Vision Montréal ne lance pas un débat sur les structures de la ville, mais plutôt "sur l'équité de services pour tous les Montréalais". "La population, dans sa très grande majorité, estime qu'il y a trop d'élus, trop de bureaucratie, trop de structures, trop de taxes", a-t-elle réitéré.
Marvin Rotrand, conseiller d'Union Montréal et leader de la majorité à l'Hôtel de Ville, a fait valoir, dimanche, par communiqué, que les citoyens ne veulent pas d'un autre "débat stérile" sur les structures et veulent plutôt entendre parler d'économie, d'infrastructures et de services. Outre la gouvernance, le congrès de Vision Montréal abordait des questions d'éthique, de développement social et économique, de transports, d'habitation, de culture et des projets en vue du 375e anniversaire de Montréal, en 2017. À l'invitation de Vision Montréal, les représentants de partis politiques provinciaux ont participé à une table ronde sur l'avenir de Montréal. Raymond Archambault, du Parti québécois, Jean-Claude Gobé, de l'Action démocratique du Québec et Françoise David, de Québec solidaire, avaient accepté l'invitation.
"Lors de la prochaine élection provinciale, les partis politiques ne pourront pas faire l'économie d'un débat sur la gouvernance de Montréal et nous entendons faire en sorte que ce soit un thème de la prochaine campagne", a déclaré Mme Harel.
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