Vous avez déjà vécu cette expérience? Un visage qui vous revient sans cesse pendant votre travail, vos activités quotidiennes? Celui d’un(e) ex-collègue, d’un patron, d’une amie, d’un(e) ex? Mais surtout, il y a cette énergie (négative) qui vient avec. Une histoire non résolue, une parole non digérée, un regard désapprobateur... Ou peut-être simplement son énergie en général, ses accomplissements, son caractère, sa dominance, votre sentiment d’impuissance, de soumission face à lui ou elle.
Si ces scénarios vous interpellent, vous n’êtes pas seul(e). Pour l’avoir vécu à maintes reprises, voici le résultat de mes recherches et expérimentations, que j’utilise aussi en coaching. Le tout demeure - et demeurera toujours - dans la catégorie "travail en cours", mais ceci vous aidera à vous libérer, retrouver votre énergie vitale et votre productivité affectée.
À la base, établissons que ce qui nous dérange chez l’autre (façon de conduire, impolitesse, manque d’écoute, vanité, parle trop, parle fort, retardataire... peu importe!), nous l’avons. Tout est projection. Tout est projection à partir de nos perceptions - sur nous, l’autre et le monde. Et tout est dirigé par l’ego. Nous sommes donc dans une "création", "interprétation" de ce monde dans lequel nous évoluons, pas dans l’absolu.
Ce que cela veut dire est que "l’autre" n’a rien à voir avec notre sentiment ou inconfort, colère, exaspération, susceptibilité, frustration, dérangement ou autre. C’est nous la source. C’est nous la cible. Il s’agit d’une projection de ce qui - selon nos perceptions - existe chez nous et nous dérange de nous. Le fameux miroir. Et c’est vrai. Donc, molo sur le jugement envers ceux qui vous coupent la voie sur la route, vous l’avez déjà fait, consciemment ou non. Idem pour le cellulaire en conduisant, etc. Donc votre attaque vous est puissamment destinée. Dans une telle situation, arrêtez-vous dans l’acte de jugement et de condamnation de l’autre et dites-vous "je-me-pardonne" - voir ma chronique de l’an dernier à ce sujet. Et souriez-en! Vous ressentirez une subtile mais profonde détente et sérénité.
Par contre, pour cette personne qui ne cesse d’habiter vos pensées, si la logique précédente de projection est valide, la clef se trouve à la source, pas à la cible.
Voici donc quatre questions puissantes à vous poser et à répondre à tête reposée. Prenez le temps qu’il faut. Prenez-en une à la fois et laissez-la vous tendre des réponses lorsque vous êtes en voiture, en métro ou en marchant. Mais terminez sur papier.
MARCANDREMOREL.COM
MON TOP 10 DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL
Si ces scénarios vous interpellent, vous n’êtes pas seul(e). Pour l’avoir vécu à maintes reprises, voici le résultat de mes recherches et expérimentations, que j’utilise aussi en coaching. Le tout demeure - et demeurera toujours - dans la catégorie "travail en cours", mais ceci vous aidera à vous libérer, retrouver votre énergie vitale et votre productivité affectée.
À la base, établissons que ce qui nous dérange chez l’autre (façon de conduire, impolitesse, manque d’écoute, vanité, parle trop, parle fort, retardataire... peu importe!), nous l’avons. Tout est projection. Tout est projection à partir de nos perceptions - sur nous, l’autre et le monde. Et tout est dirigé par l’ego. Nous sommes donc dans une "création", "interprétation" de ce monde dans lequel nous évoluons, pas dans l’absolu.
Ce que cela veut dire est que "l’autre" n’a rien à voir avec notre sentiment ou inconfort, colère, exaspération, susceptibilité, frustration, dérangement ou autre. C’est nous la source. C’est nous la cible. Il s’agit d’une projection de ce qui - selon nos perceptions - existe chez nous et nous dérange de nous. Le fameux miroir. Et c’est vrai. Donc, molo sur le jugement envers ceux qui vous coupent la voie sur la route, vous l’avez déjà fait, consciemment ou non. Idem pour le cellulaire en conduisant, etc. Donc votre attaque vous est puissamment destinée. Dans une telle situation, arrêtez-vous dans l’acte de jugement et de condamnation de l’autre et dites-vous "je-me-pardonne" - voir ma chronique de l’an dernier à ce sujet. Et souriez-en! Vous ressentirez une subtile mais profonde détente et sérénité.
Par contre, pour cette personne qui ne cesse d’habiter vos pensées, si la logique précédente de projection est valide, la clef se trouve à la source, pas à la cible.
Voici donc quatre questions puissantes à vous poser et à répondre à tête reposée. Prenez le temps qu’il faut. Prenez-en une à la fois et laissez-la vous tendre des réponses lorsque vous êtes en voiture, en métro ou en marchant. Mais terminez sur papier.
- Qu’est-ce que cette personne fait que j’ai le potentiel de faire mais que je ne fais pas?
- Qu’est ce que cette personne se permet que je ne me permets pas?
- Qu’est-ce que cette personne me reflète de moi que je refuse de voir, n’accepte pas ou que je ne veux plus et que je suis prêt(e) à laisser aller?
- Qu’est-ce que je tolère de cette personne que je ne devrais pas tolérer?
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