Avec ce deuxième opus, Fred Pellerin s’inscrit dans la continuité d’une grande lignée de gens de parole…
et nous a présenté mardi soir, au Théâtre
Plaza, son nouvel album intitulé C’est un monde. Cette proposition
musicale fait suite à Silence (plus de 140 000 exemplaires
vendus) qui lui a valu le Félix de l’Album
folk de l’année au gala de l’ADISQ 2010, ainsi qu’une nomination pour le
meilleur album francophone de l’année aux prix Junos. C’est tout un monde que Fred Pellerin nous convie à découvrir
dans ses mots à lui et ceux empruntés aux plumes des David Portelance, René
Richard Cyr, Manu Trudel, Mathieu
Lippé et Denis Massé.
Un monde tissé par nos parlures pour dire l’amour, la peur, l’univers qui bascule, le désir de partir, l’envie de rester et la force de ne pas oublier. Sur une route de chansons, Fred Pellerin nous emmène une fois encore à la rencontre de la vie qui se respire à grandes bouffées d’espoir et se vide de peines et de colères.
La chanson éponyme de l’album C’est un monde, écrite par Fred, amorce ce périple en douceur… « pour se secouer les doutes et se confirmer l’impossible ». Il faut que tu saches, signée René Richard Cyr sur une musique de Fred Pellerin, est de celles qui nous hantent et deviennent « chantise », Vienne l’amour… si grande « qu’elle manque de place pour les ailes », Roland… avec ses petites histoires « pour faire des ponts vers les grands rebordages », Retenir le printemps… avec ses pointes de possibles qui donnent à rêver. Et c’est sur une note d’espérance tout en chorale que La Mère-Chanson termine l’album.
Jeannot Bournival réalisateur, arrangeur et multi-instrumentiste (basse, clarinette, glockenspiel, vibraphone…), complice de toujours, s’est encore une fois fait alchimiste pour assurer le subtil amalgame du verbe et des sonorités, avec le concours de musiciens inspirés comme Mathieu Désy (contrebasse, basse), Daniel Lacoste (guitare, banjo, mandoline), Pascal Veillette (harmonica), Carl Vaudrin et Guillaume Marchand (piano), Martin Lavallée et Simon Blouin (batterie), ainsi qu’un ensemble à cordes et le Chœur de l’armée brune, une chaleureuse chorale d’amis de la Mauricie.
Avec ce deuxième opus, Fred Pellerin s’inscrit dans la continuité d’une grande lignée de gens de parole…
Source: LaMetropole.com
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