C’est fait, Laval est en tutelle depuis lundi et il était temps. Tout comme il serait opportun que Montréal le soit aussi.
Dans les deux cas, et pour des scénarios divers qui ont en commun un univers gravissime de corruption, les élus des deux villes n’ont plus la confiance de la population. Or si on veut redonner de la crédibilité envers les administrations municipales et avant de procéder au grand ménage, il faut sortir de là les élus qui font tous l’objet d’allégations. A commencer par le maire Applebaum qui se maintient en poste en marchant sur un fil de fer. L’UPAC peut le faire tomber à tout moment, et ça ne surprendrait pas de le voir un jour escorté à son tour au Quartier général de la Sûreté du Québec pour en découdre.
Il sait que la tutelle pend sur lui comme une épée de Damoclès, puisqu’il en a parlé après l’annonce de celle de Laval, disant qu’à Montréal ce n’était pas la même chose et que l’on devait faire confiance. Justement, la confiance n’y est plus. Surtout que c’est choquant pour ce qui est de Laval que le maire Duplessis soit maintenu en poste et les conseillers avec salaire, alors qu’ils font face à de graves allégations.
JAMAIS TROP TARD
Vers la fin des témoignages sur l’administration montréalaise à la Commission Charbonneau, déjà la rumeur populaire s’emportait laissant planer le souhait d’une mise en tutelle pour Montréal. Mais on avait vite écarté cette perspective en argumentant que puisque l’élection s’en venait en novembre, ça n’en valait pas la peine. Alors pourquoi ce qui n’était pas valable pour Montréal, l’est pour Laval ? Pourtant ce sera le même scrutin en novembre sur l’Île Jésus ? Une tutelle s’impose dans la métropole, car la ville n’est plus gérée.
 Il y a de graves problèmes au quotidien : policiers violents, les rues sont sales, les itinérants dominent les places publiques harponnant les passants et quoi encore. Notre éditeur Stéphane Maestro a évoqué Mardi dans son blogue en rêverie, une ville sans politiciens. C’est une utopie bien sûr, mais on voit qu’à Laval le train train quotidien n’a pas changé et les services municipaux demeurent. Et aussi à Laval, au contraire de Montréal, ils sont mieux pourvus en efficacité des services. A ce que je sache il n’y a pas d’itinérants qui couchent dans les corridors du Carrefour Laval, qui crachent et qui pètent.
MONTRÉAL LE PORT-AU-PRINCE DU QUÉBEC
Montréal, a dit J.Jacques Samson du Journal de Québec, est le Port-au-Prince du Québec comme je l’ai rapporté récemment. C’est pour ça que la tutelle à Montréal est plus urgente encore. M’avez-vous entendu Monsieur le Ministre des Affaires municipales ?
LES OPINIONS EXPRIMÉES SONT CELLES DE L'AUTEUR ET NE REFLÈTENT PAS NÉCESSAIREMENT CELLES DU PORTAIL DU GRAND MONTRÉAL LaMetropole.com
POURQUOI DES POLITICIENS DANS LES VILLES?
UN PETIT ZIZI QUI SÈME LE TROUBLE
Il sait que la tutelle pend sur lui comme une épée de Damoclès, puisqu’il en a parlé après l’annonce de celle de Laval, disant qu’à Montréal ce n’était pas la même chose et que l’on devait faire confiance. Justement, la confiance n’y est plus. Surtout que c’est choquant pour ce qui est de Laval que le maire Duplessis soit maintenu en poste et les conseillers avec salaire, alors qu’ils font face à de graves allégations.
JAMAIS TROP TARD
Vers la fin des témoignages sur l’administration montréalaise à la Commission Charbonneau, déjà la rumeur populaire s’emportait laissant planer le souhait d’une mise en tutelle pour Montréal. Mais on avait vite écarté cette perspective en argumentant que puisque l’élection s’en venait en novembre, ça n’en valait pas la peine. Alors pourquoi ce qui n’était pas valable pour Montréal, l’est pour Laval ? Pourtant ce sera le même scrutin en novembre sur l’Île Jésus ? Une tutelle s’impose dans la métropole, car la ville n’est plus gérée.
 Il y a de graves problèmes au quotidien : policiers violents, les rues sont sales, les itinérants dominent les places publiques harponnant les passants et quoi encore. Notre éditeur Stéphane Maestro a évoqué Mardi dans son blogue en rêverie, une ville sans politiciens. C’est une utopie bien sûr, mais on voit qu’à Laval le train train quotidien n’a pas changé et les services municipaux demeurent. Et aussi à Laval, au contraire de Montréal, ils sont mieux pourvus en efficacité des services. A ce que je sache il n’y a pas d’itinérants qui couchent dans les corridors du Carrefour Laval, qui crachent et qui pètent.
MONTRÉAL LE PORT-AU-PRINCE DU QUÉBEC
Montréal, a dit J.Jacques Samson du Journal de Québec, est le Port-au-Prince du Québec comme je l’ai rapporté récemment. C’est pour ça que la tutelle à Montréal est plus urgente encore. M’avez-vous entendu Monsieur le Ministre des Affaires municipales ?
LES OPINIONS EXPRIMÉES SONT CELLES DE L'AUTEUR ET NE REFLÈTENT PAS NÉCESSAIREMENT CELLES DU PORTAIL DU GRAND MONTRÉAL LaMetropole.com
POURQUOI DES POLITICIENS DANS LES VILLES?
UN PETIT ZIZI QUI SÈME LE TROUBLE
Philippines have a 90% literacy rate. It proves that Education is of primary concern in the country.
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