Il prend des textes à droite et à gauche et nous éveille à des connaissances récentes venues de textes anglais, français ou autres pour en faire une émission intéressante. Dans cette même perspective mes intérêts sont effectivement aux quatre points cardinaux ce qui veut dire que parfois les blogues vont signaler des explications ou des commentaires sur des crimes ou sur des problèmes psychologiques. À d’autres moments, il y aura des analyses sur des éléments parapsychologiques,

et les inspirations pourront venir d’événements qui se sont passés soit 70,000 ans avant Jésus-Christ ou 40,000 ans, 20,000 ans, 12,000 ans et évidemment les allusions à des cultures qui sont plus connues de 3,000 ans avant Jésus-Christ jusqu’à actuellement. 

LES ASIATIQUES BONS EN MATH, POURQUOI?

En fait la recherche semble confirmer que  les Asiatiques seraient plus intelligents que les occidentaux : les Asiatiques sont en tête de  liste en termes d'intelligence, selon les résultats d'une analyse que des chercheurs autrichiens ont effectuée dernièrement sur diverses données de recherche en vue d'établir le QI moyen pour chaque pays. Bien entendu plusieurs thèses ont cherché à expliquer cette trouvaille.  Cela pose la question les gènes ou l’environnement lesquels sont les plus importants.

Nous avons signalé que dans son livre « La Vérité Profonde » Gregg Braden, faisait une critique du darwinisme en signalant qu’il y avait plus que le hasard qui avait pu donner lieu aux évolutions que ce soient des espèces animales ou même des espèces humaines. 

Nous avions fait allusion au livre « Hotliers : The Story Of Success » (Malcom Gladwell) qui explique au moins qu’une fois une personne est née c’est son environnement qui va être le plus responsable de sa réussite.  En particulier il nous signale qu’il est rare que l’on ait des individus pour qui le génie du départ explique les grandes réalisations.  Ceux qui finissent par atteindre les médias comme la première page du New York Times ou de Paris-Match ont travaillé sur ce qui les rendu célèbre, un minimum de 10,000 heures. Et, comme il l’a montré pour la recherche Roseto, l’environnement est capital pour expliquer un grand nombre de phénomènes humains. 

Dans cet article on se penchera sur le fait que les asiatiques, les chinois, les japonais et les coréens sont habituellement plus à l’aise avec les calculs mathématiques que les occidentaux.  Il explique que cela vient des facteurs externes.  Le premier facteur est la manière dont les chiffres sont codifiés dans ces langues.  Pour la langue anglaise ou française (la majorité des langues européennes) les chiffres sont évoqués par des termes relativement longs.  Par exemple si on a à retenir « quatre, huit, cinq, trois, neuf, sept, six » après 20 secondes on a seulement 50% de chances qu’un occidental les retienne correctement.  Par contre les asiatiques s’en souviennent 100% du temps.  L’explication est que dans notre tête prononce quatre nous prend 1/3 de seconde.  Tandis que en chinois cela se dit seulement Si pour le quatre et qi pour le sept, ce qui prend seulement ¼ de secondes.  Deuxièmement, quand un occidental pense, il pense en récitant dans sa tête les chiffres.  Donc, pour 91 il prend tout le temps dans sa tête pour pouvoir prononcer intérieurement « quatre vingt onze ». 

Le cantonais parlé à Hong Kong permet à ses habitants de retenir 10 chiffres sans erreur. 

 De plus, dans nos langues occidentales il n’y a pas de rationnel pour lesquels les chiffres sont codifiés.  On dit quatorze (14) ou le dernier chiffre (4) est prononcé en premier.  Par contre pour cinquante (50) ou soixante (60) c’est le premier et non le dernier chiffre qui est prononcé en premier.

Les asiatiques (Chine, Japon et Corée), ont une manière de codifier est beaucoup plus simple.  On dira dix un pour 11, et dix deux pour 12, et ainsi de suite pour 21 on dira : dix dix un.  Tout est très logique et très rapide.  .Un enfant asiatique de 4 ans compte jusqu’à 40 facilement.  Un enfant américain du même âge compte seulement jusqu’à 15. 

Mais pour l’intelligence générale des asiatiques une hypothèse a été faite en signalant que des hommes venant d’Afrique ont émigré autour de il y a 70,000 ans dans les régions de Sibérie parce qu’à cet endroit, en effet, il y avait toujours d’immenses troupeaux et que la chasse était beaucoup plus facile et surtout beaucoup plus constante.  Puis, petit à petit, ces personnes venant d’Afrique ont vu leur pigmentation diminuer mais pas complètement et aussi leur nez s’aplatir ainsi que leurs yeux se brider.  Ces caractéristiques vont se retrouver chez les asiatiques.  Lorsque le froid était modéré sur la terre, entre 70,000 ans et 40, 000 ans avant Jésus-Christ, les habitants de la Sibérie pouvaient supporter ce froid. 

Mais environ 40,000 ans avant Jésus-Christ ils ont dû se déplacer en Asie à cause d’un froid plus intense.  Donc la théorie d’origine darwinienne est qu’ils ont eu à s’adapter à ce climat-là et à ces conditions nouvelles pour eux et que cela a forcé à la survie des plus intelligents ce qui expliquerait une intelligence qui est supérieure chez certains asiatiques.  C’est la théorie de la survie des plus adaptés.

Par contre, la théorie de l’auteur de « Hotliers »  est bien différente. Il explique que si on se reporte aux travailleurs français du 18^ième siècle, dans les campagnes, ces personnes-là avaient un travail qui se concentrait surtout au printemps jusqu’à l’automne et par la suite ils réparaient leurs outils, leurs maisons mais il y avait très peu de travail à faire contrairement aux préjugés qu’on pourrait avoir. 

De plus, ils n’avaient pas à s’occuper constamment de leurs cultures, ils attendaient que la pluie tombe du ciel au bon moment avec parfois des hauts et parfois des bas.  L,auteur calcule, à mon grand étonnement, que ces personnes là travaillaient à peu près 200 heures par année, pas plus!.  

Par contre la culture du riz en Chine est très complexe.  Ça leur prend des terrasses très bien faites avec un niveau très particulier pour que l’eau ne s’écoule pas et reste pendant un certain temps. Mais il faut de plus que l’eau ne stagne pas trop longtemps.  En plus de cela, il fallait une couche d’argile pour pouvoir retenir l’eau mais aussi une couche d’humus et de terre pour faciliter la croissance du riz. Comme cela se fait dans des régions chaudes on pouvait avoir plusieurs saisons de riz dans une année.  Donc les habitants s’occupaient constamment du matin jusqu’au soir de leurs rizières.  Ils s’arrangeaient pour qu’elles soient bien irriguées d’une manière adéquate. Cela demandait un travail du matin jusqu’au soir et qui ne changeait pas véritablement avec les saisons.  Finalement, ces agriculteurs travaillaient 3000 heures par année au lieu de 200 heures pour des européens du 18^ième siècle. 

Cela a donc contribué à une culture de travail : notre vie dépend directement de notre travail.  Il compare d’ailleurs les proverbes asiatiques avec les proverbes russes.  Les proverbes russes étant assez fatalistes les individus sembles livrés aux hasards de la vie; « Si Dieu ne l’amène pas la terre ne l’amènera pas! »  Tandis que les chinois considèrent qu’ils vont avoir des bénéfices de la vie pour autant qu’ils travaillent sans cesse : « Ne comptez pas sur le ciel pour votre nourriture mais plutôt sur vos 2 mains » ou « Si un homme travaille fort la terre ne sera pas paresseuse! » 

Donc, on voit là des études qui montrent que ce sont beaucoup plus les facteurs environnementaux qui ont poussé les individus à fonctionner d’une manière intensive.  Mais quant au darwinisme, on peut se poser des questions.  En effet, comment se fait-il que les nez sont devenus plus plats sur le visage.  Est-ce que cela voudrait dire que la plupart des gens qui se gelaient le nez n’ont pas survécu?  Les yeux sont bridés parce qu’à l’époque où ils étaient en Sibérie dans des régions glaciales c’était plus utile pour ne pas être aveuglés par le grand soleil ou les vents froids.  Est-ce que cela veut dire que tous ceux qui n’ont pas eu les yeux bridés ne se sont pas reproduits? De la même manière, leur peau a gardé quand même une pigmentation qui est plus importante que celles des occidentaux mais qui est bien moindre que celle des africains.  Est-ce que ça voudrait dire que toutes les personnes qui avaient une pigmentation noire sont morts parce qu’ils manquaient de vitamine D? 

Nous voyons que dans cet exemple-là, ce serait beaucoup plus l’épigénétique qui explique qu’ont peut léguer à notre descendance une partie de nos gênes et que certains d’ailleurs « s’allument » ou « s’éteignent » suivant les circonstances beaucoup plus que la survie du plus fort. 

L’hérédité épigénétique est la transmission de l’information d’une génération à l’autre qui affecte les traits de l’enfant sans altération de la structure de l’ADN de base.  Notre ADN change avec notre environnement.  Notre génétique n’est pas notre destinée! Cela nous donne de l’espoir si nous sommes confrontés à des changements importants des éléments : nous allons pouvoir nous adapter!