DES FOURMIS POILUES TERRIFIANTES

 

Connues sous leur nom savant de Paratrechina, on ne vous souhaite ça pour rien au monde. On les surnomment poilues, parce que leur partie ventrale est moins luisante que celle des autres espèces. Mais ce qui a fait leur sinistre renommé, c’est qu’elles sont particulièrement agressives. Vous en tuez cent mille, et il en vient un million. Même un exterminateur ne peut calmer le jeu plus d’une journée, car elles reviennent en légions. On dit d’elles, que lorsqu’elles occupent un emplacement, elles y demeurent, mais plus leurs habitants! Elles portent en elles un code.

Quand l’une meurt, elle sécrète alors une substance qui est comme un signal avertissant les autres d’arriver en renfort. Et le message hélas se rend à bon port. Elles sont si envahissantes qu’elles ont réussi jusqu’à endommager des complexes industriels. Ces fourmis se faufilent partout au grand désarroi des populations touchées.
Repères pour illustration :

TOUTE UNE RÉCOMPENSE POUR TROUVER SON CHIEN

Un péruvien tient tellement à retrouver son chien disparu, qu’il a mis le paquet. Quiconque lui rapporte son canin favori, se verra remettre une paire de billets pour le match de football Pérou-Paraguay, une rencontre très convoitée là bas. Il a payé lui-même ces billets au coût de 110$ ce qui équivaut à la moitié du salaire minimum. Et les gens ne gagnent pas chèrement leur vie. On connaît l’expression « ce n’est pas le Pérou », c’est pas pour rien. Mais ce le sera pour l’heureux récipiendaire qui rapportera la bête attendue. Et tu parles dans quelles circonstances le chien s’est volatilisé! Comme il était un peu beaucoup tannant, son maître l’avait enfermé dans la voiture pendant le repas familial. Pour leur malheur on a volé l’auto avec le chien dedans. Si vous le voyez dans les parages…



UN FRÈRE PAS MAL ÉTOURDI

Il est pas bien futé le frérot, recherché par la police pour bris de condition dans une affaire d’agression sexuelle. Comme il souhaitait voir son frère à la maison d’arrêt de Montpellier en France, il s’est pointé en prison au moment où débarquait une escouade de choc dans le cadre d’une opération anti-drogue. Le visiteur s’en est pris au chien de la brigade anti-stupéfiant, allant même jusqu’à le frapper. L’affaire a dégénéré, et c’est en procédant à son contrôle que le pot aux roses a été découvert.