UNE SALLE DE LA COLÈRE...

Une femme d’affaires du Texas a bien compris ce besoin légitime de passer sa rage. C’est pourquoi elle a aménagé ce qu’elle appelle sa salle de la colère. On peut installer des meubles à votre convenance, pas trop chers évidement. Puis on vous fournit soit un batton de baseball, un marteau ou un bâton de golf et allez-y, vous pouvez tout réduire à néant et même « varger » à grands coups sur les murs. Tout est possible. On loue des temps de minute pour ce faire qui peuvent aller jusqu’à vingt-cinq minutes.

Mais à l’usage, même ceux qui prennent le forfait de quinze minutes, se rendent compte que le gros de l’orage peut se ramener en cinq minutes seulement. Ils sont surpris que leurs frustrations peuvent trouver à « s’épanouir » en un temps si court.

Décidément il y en a qui ne savent plus comment tuer le temps et gaspiller leur argent. Une entreprise de l’événementiel, Zed events propose pour la somme de 189$ de survivre à une attaque de zombies. L’action se déroule dans un centre commercial, et est d’une durée de quatre heures. Des comédiens déguisés vont vous agresser à tour de rôle et il suffira d’en anéantir le plus possible. Ces morts vivants assoiffés de sang vous en feront vivre de toutes les couleurs. On participe àa cette attraction en petits groupes de 15 personnes, dans un parcours parsemés d’effets spéciaux pour donner plus de véracité à l’expérience unique que vous allez vivre. Frissons garantis.

LA MER QUI S'ILLUMINE EN PLEINE NUIT

C’est un phénomène unique et qui s’appelle la bioluminescence. Et on peut en voir les effets magnifiques dans un court métrage intitulé « Red tide » du réalisateur Loghan Call. Autour de minuit sur les plages d’Encinitas et de Carlsbad à San Diego, il a capté sur pellicule des vagues avec des effets bleus électriques. Un spectacle éblouissant.

927,000 kILOMÈTRES

              AVEC LA MÊME VOITURE

On ne peut pas dire que Mme Rachel Veith ait été dépensière côté bagnoles. Depuis 1964 elle a roulé 927, 000 kilomètres au compteur avec sa même Mercury Comet Caliente qu’elle a baptisé « Chariot ». Si elle a survécu à 3 maris et 18 changements de batteries, l’automobiliste floridienne, qui fêtera sous peu ses 94 ans, doit cesser de conduire, en raison d’une dégénérescence maculaire aux deux yeux qui l’oblige à mettre sa voiture au rancart pour de bon. Cette ancienne infirmière a du caractère. Pas question de laisser sa voiture à sa famille qui dit-elle, ne saurait pas l’entretenir.