Mardi, 30 juillet 2013

CES FEMMES, VOLEUSES DE PAUVRES!

par

J’ai été témoin, depuis 1 ½ semaine, de 2 vols au centre d’action bénévole qui est situé en face de chez moi.

 
La première fois, j’ai été tellement surpris que je me suis dit qu’il fallait être vraiment pauvre pour voler un organisme qui se dévoue à aider les plus démunis de notre société, mais la deuxième fois je me suis questionné à savoir ce que je devais faire en tant que citoyen. Le premier vol dont j’ai été témoin s’est produit le samedi 20 juillet, vers 6 heures du matin. Je faisais prendre la promenade matinale à Socrate, mon caniche royal sur notre terrain, lorsque je me suis rendu compte qu’au lieu de mettre des choses dans les grands compartiments destinés à la réception du linge ou de matériel,

une femme d’une quarantaine d’années prenait les choses dans les bacs et les mettait dans sa caravane. Ma présence la laissait complètement indifférente, n’affectant aucunement le vol qu’elle perpétuait. Je pense que c’est sa façon d’agir qui a contribué à ne pas éveiller mes élans de justicier.

Le deuxième vol auquel j’ai assisté est celui qui m’a réveillé. Nous sommes le mercredi 24 juillet, il est environ 22h30. Ma conjointe et moi sortons Socrate pour sa promenade du soir afin qu’il puisse faire ses besoins.



Arrivés près du trottoir, nous voyons 2 jeunes femmes près de la trentaine s’enfuir presque en courant, les bras chargés de sacs à poubelles, vers l’arrière du centre d’action bénévole. À ce moment mon élan de justicier s’est éveillé. Je me suis dit que lorsqu’elles sortiraient du stationnement, je prendrais leur numéro de plaque en note et que j’appellerais les policiers. Mais je ne les ai jamais vues sortir du stationnement. Elles avaient dû se stationner sur l’autre rue afin de ne pas être démasqué, je présume.  

Vous imaginez bien que les jours suivants j’ai raconté cette anecdote à plusieurs personnes. Et là j’ai été abasourdi de ce que j’ai appris. Tous les centres d’action bénévole à qui j’ai parlé estiment se faire voler plus de la moitié de ce qu’ils reçoivent. Les gens trient ce qu’ils veulent garder et la plupart des voleurs jettent ce qu’ils ne veulent pas; ils ne le rapportent même pas. La presque totalité de ce qui a été volé se retrouve dans les friperies, selon eux. Vous comprendrez que ces gens ne souhaitent pas que je divulgue leurs noms, mais en même me disent que c’est un procédé connu de beaucoup de gens. Leurs mots exacts sont «Tout le monde le sait!»

Une bénévole, plus loquace que les autres, a même dit que les plus gros vols étaient en fait perpétués par les bénévoles eux-mêmes, qui sont pour la très grande majorité des femmes! Tous les beaux meubles ou antiquité que les centres d’action bénévole reçoivent se retrouvent dans les maisons des bénévoles voleuses, car c’est bel et bien du vol, ou dans leurs petits commerces soit de friperies ou d’antiquités, toujours selon ses dires, soupçons partagés par beaucoup d’autres responsables de ces centres!

J’ai trouvé une ville où il y a deux comptoirs familiaux. Le premier est géré par un organisme à but non lucratif et le deuxième par des particuliers. Ils ont même poussé l’audace à nommer leur commerce Le Vrai Comptoir Familial de la rue Principale! Même quand on donne nos guenilles, on ne sait pas vraiment à qui on les donne!

MAIS QU’EST-CE QUI NE TOURNE PAS ROND DANS NOTRE SOCIÉTÉ?!?

J’avais toujours pensé que les femmes, de façon générale, étaient plus morales que les hommes! Et là j’apprends que non seulement elles volent les plus pauvres, mais en plus elles en tirent profit. Les femmes sont le premier rempart d’éducation et de transmission morale envers les enfants. Pas étonnant de constater que les enfants ne respectent rien et ont des valeurs morales élastiques!

LES OPINIONS EXPRIMÉES SONT CELLES DE L’AUTEUR ET NE REFLÈTENT PAS NÉCESSAIREMENT CELLES DU PORTAIL DU GRAND MONTRÉAL LaMetropole.com

LA SOCIÉTÉ MAGIQUE FUTUR

TASSE-TOÉ, MATANTE!
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