Les conflits ancestraux qui perdurent depuis toujours sont une situation sans issue. Certaines sociétés privées profitent de la belligérance en fournissant des armes aux deux clans et s’enrichissent au détriment du malheur humain.
D’autres sociétés obtiendront de lucratifs contrats pour reconstruire les zones dévastées. Il faut croire que cela fait rouler l’économie. Il y aurait cependant d’autres manières plus évolutives d’instaurer la prospérité. Les guerres et les conflits qui se matérialisent physiquement dans la matière ne sont que la densification de conflits qui prennent naissance dans un monde plus subtil. Nous devenons le champ de bataille d’une guerre de principes vibratoires sans intelligence dont nous sommes les otages.
Lorsqu’une personne perd un proche, ou qu’elle est victime de violence portant même atteinte à son intimité, il est pratiquement impossible pour elle de sortir de l’enclos de vengeance et de rage forgées autour de son ego. Elle devient prisonnière du karma collectif et elle ne peut s’échapper de cette situation tant et aussi longtemps qu’elle demeure vivante. La non-violence prônée par Gandhi et tous les grands pacifistes est mise de côté. Il n’y a aucune solution à court-terme. Pour que ce problème soit réglé, il faudrait en premier qu’il le soit au niveau des dirigeants. Les prières pour la paix ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan de l’amertume et de la souffrance des peuples. Elles servent à créer un faible égrégore dont les résultats sont à très petite échelle.
Les pays à proximité les uns des autres sont souvent placés dans une situation où ils veulent s’accaparer des ressources de leurs voisins. Que ce soit le pétrole, le gaz, les gisements de minerais, l’eau, les terres arables ou les matières premières comme le bois, les gouvernements ressentent la pression de leur peuple pour l’établissement et le maintien de conditions de vie acceptables. Les pays économiquement les plus forts réussissent à générer un PIB favorable à l’expansion et à la croissance de la société en général. Les pays moins fortunés qui ont néanmoins développé des forces militaires imposantes peuvent être tentés d’annexer leurs voisins de gré ou de force.
Je vous offre la suite, la semaine prochaine.
LAMAGIESIENNE.COM
L’EGO CONFLIT SUR LA TERRE! (partie 1)
Lorsqu’une personne perd un proche, ou qu’elle est victime de violence portant même atteinte à son intimité, il est pratiquement impossible pour elle de sortir de l’enclos de vengeance et de rage forgées autour de son ego. Elle devient prisonnière du karma collectif et elle ne peut s’échapper de cette situation tant et aussi longtemps qu’elle demeure vivante. La non-violence prônée par Gandhi et tous les grands pacifistes est mise de côté. Il n’y a aucune solution à court-terme. Pour que ce problème soit réglé, il faudrait en premier qu’il le soit au niveau des dirigeants. Les prières pour la paix ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan de l’amertume et de la souffrance des peuples. Elles servent à créer un faible égrégore dont les résultats sont à très petite échelle.
Les pays à proximité les uns des autres sont souvent placés dans une situation où ils veulent s’accaparer des ressources de leurs voisins. Que ce soit le pétrole, le gaz, les gisements de minerais, l’eau, les terres arables ou les matières premières comme le bois, les gouvernements ressentent la pression de leur peuple pour l’établissement et le maintien de conditions de vie acceptables. Les pays économiquement les plus forts réussissent à générer un PIB favorable à l’expansion et à la croissance de la société en général. Les pays moins fortunés qui ont néanmoins développé des forces militaires imposantes peuvent être tentés d’annexer leurs voisins de gré ou de force.
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