Famille, ami.e.s, collègues, connaissances. J’ai pris la décision ferme, qui remonte à plusieurs années, de ne pas vous accompagner dans votre dernier repos. Je n’irai donc pas à vos funérailles.
Moins je vieillis et plus je crois que la vie n’est pas un simple fait relevant uniquement de ce qui respire. Quand un corps vivant transite, se transforme, la conscience qui l’habitait poursuit sa quête d’elle-même. Par analogie, une ampoule qui brûle et que l’on jette aux déchets n’affecte pas l’électricité qui l’alimentait. Autrement dit, ce n’est pas parce qu’il n’y a plus d’ampoule que l’électricité cesse sa manifestation. Le corps vivant est l’ampoule. Sa conscience est l’électricité.
Où va donc choir l’électricité ou conscience une fois qu’elle n’a plus de corps? Imagine-t-on qu’elle disparait à jamais? A priori, non. Nous remplaçons l’ampoule non fonctionnelle par une nouvelle. Fiat lux.
Il est difficile d’admettre par la pensée que nous sommes énergie et que cette énergie pense et conçoive qu’elle est énergie. Notre constitution matérielle se rebute à cette idée. Or, c’est aussi ignorer que la matière n’a pas d’existence propre. Sa densité, sa dureté, le fait de la voir et de la toucher nous illusionne sur sa réalité. Si elle n’a pas de réalité à proprement dit, qu’en est-il de sa perception? Que percevons-nous donc qui nous trompe à ce point? Nous nous trompons seulement sur le concept de celle-ci. Ce qui veut dire que rien ne change dans ce que nous voyons ou touchons.
Ce que nous appelons matière n’est qu’une sensation. C’est donc la sensation de matière qui est vraie et non pas la matière elle-même puisque cette matière est encore à ce jour indéfinissable, infinie dans sa composition atomique. La sensation de matière est une cristallisation d’énergie de soi, celle que nous refusons d’être. Mais être quoi au juste?
Être Soi ou Tout. Ce refus d’être Tout par peur de l’anéantissement de soi crée des nœuds, des blocages énergétiques qui se « matérialisent ». De vie en vie nous passons le plus clair de notre temps à tenter de transcender ces obsessions matérielles qui nous pourrissent la vie ; la recherche de la richesse, le prestige, la reconnaissance, l’accumulation de biens, la crainte du manque de nourriture, l’idéalisation de la science et de la technologie, la consommation des corps par la sexualité… Des vies de désespérés par la fuite dans le divertissement mais convaincu du bien fondé qu’il s’agit bien là d’une réalité indéfectible, la seule, étant donné que tout le monde s’accorde à la vivre de la même manière. L’uniformisation de la vie comme celle de la « mort ». N’est-ce pas étrange que l’espèce humaine ait une date de péremption, plus ou moins autour de nos 80 années?
On ne condamne plus les gens qui pensent et savent que l’eau a une mémoire. Néanmoins, nos corps en sont composés. Des cellules aux mémoires millénaires répètent des processus de renouvellement, d’adaptation. D’où vient leur mémoire? Qui ou quoi les conditionne à ce labeur? Si ce n’est pas l’être humain lui-même, faudra me le démontrer. Nous sommes nos propres influences et conditionnements. La publicité, la pharmaceutique et autres programmateurs de conscience telle que l’école l’ont bien compris. Puisque nous sommes créateurs de ce que nous vivons mais que la plupart d’entre nous ignorons, des hypothèses, des théories circulent à tous les niveaux de nos sociétés pour nous faire croire à notre mortalité. Nous enregistrons ces mensonges comme des vérités, l’envoyons tel quel à notre cerveau qui lui, ordonne aux cellules de se conduire aveuglément, d’obéir à l’injonction qu’elles doivent mourir un jour. Exemple parfait de l’aberration compte tenu que l’énergie ne peut en aucun cas mourir.
La mort n’est pas naturelle. La mort ne nous appartient pas. La vieillesse se décline en tant que concept comme une pure tromperie. Elle sert à donner naissance à un autre concept tout aussi discutable qu’est la mort. Mettre un programme de mort dans chaque être humain dès le plus jeune âge et sa vie durant il s’exécutera à parvenir à son but. Il y a cependant résistance. Nous ne voulons pas mourir. Nous craignions notre propre disparition. La peur nous ravage le visage de la vie. Pourquoi, si nous ne voulons pas mourir, finissons-nous par nous convaincre d’y arriver? Parce que c’est de cela dont il est question, nous sommes convaincus que la mort existe. Retarder cette date butoir par l’amélioration de nos conditions de vie en est la preuve. Et comme cette amélioration ne prolonge pas le bonheur espéré, une porte sur la mort demeure toujours ouverte. Cette croyance ne peut être autre chose qu’un suicide.
Toutes les peurs accumulées dans notre vie face à une date ultime de transition pavent parfaitement la route en direction de nos souffrances. Ainsi, d’année en année – la notion de temps n’existant pas plus que la réalité de la mort – ces souffrances prennent de l’ampleur, alourdissent notre humanité, sclérose notre enthousiasme, notre créativité, notre débordante énergie qui finit par modifier nos corps, notre sensation corporelle. L’inertie s’installe, la peur fait son travail, la vieillesse croit et l’appelle de la mort ne tarde pas. À tout âge l’on se suicide. Quand la peur devient insupportable, que nous disons préférer mourir plutôt que d’avouer un mensonge ou passer à l’action, c’est du suicide.
Plusieurs options s’offrent à nous avant de court-circuiter notre conscience. Entretemps, donc, par la peur et l’épuisement à se battre contre soi-même pour aboutir face à sa conscience sans corps, dans un « au-delà » quelconque, la mort, nous pouvons choisir une pause par la folie, l’alzheimer, le coma. Quand cela deviendra à nouveau insupportable pour soi ou pour les autres, l’option mortelle sera envisagée.
Nous ne sommes pas libres vivants. Nous ne sommes pas libres morts. Notre vivant est régi par des lois pour nous protéger de nos peurs. Pourtant, des lois n’ont jamais protégées qui que ce soit et encore moins éradiquées la peur et la souffrance. Au contraire, elles renforcent le sentiment de crainte. Le châtiment pour autrui devient notre propre cauchemar. Les lois pour les autres, nous y sommes aussi contraint. Dès lors, tout le monde a peur d’être fautif, d’être coupable. Une couche de plus à nos peurs. Le sens des responsabilités personnelles perdues, les lois guident les zombies dans la dépendance à celles-ci, leurs vraies maîtres et Dieu.
Le vivant condamné à perpétuité à aller contre sa nature, emprisonné avec l’illusion d’être libre. Soumis, obéissant à des ordres des gouvernements, le vivant peut être à tout moment mis en prison, torturé, tué « légalement ». Seules les personnes autorisées par le pouvoir en place peuvent se permettre de telles pratiques. Les autres, au cachot.
Morts, nos corps s’empressent d’être récupérés par les marchands de la tristesse, du malheur. Impossible d’en disposer à notre guise. La mafia médicale étatique s’amuse à comploter de nouvelles théories à son sujet avant de le rendre au feu ou à la terre. Pour s’assurer de l’impact que la mort représente bien une réalité dont on ne peut se passer, des foires tombales comme lieux de visite jonchent notre planète. La mémoire, par le cimetière, ne doit pas oublier. Et pour être bien mêlé, disjoncté face à quelqu’un qui choisit de mourir, l’on nous présente deux facettes, deux réactions émotionnelles; à un proche, une personne de notre entourage nous lui souhaitons de reposer en paix puisque sa vie était tumultueuse, souffrante.
À des inconnus suite à un évènement comme un tremblement de terre, un tsunami, nous oublions la paix car ils deviennent de pauvres victimes. Lors d’un massacre, d’une guerre, pas de paix non plus mais encore plus victimes que les précédents avec un surplus de haine, de vengeance de souhaits de mort!! pour les soi-disant bourreaux. La mort comme cadeau pour certaines personnes. La mort comme punition pour les autres.
En tant que parents motivés par l’amour inconditionnel (une farce) la signature que nous apposons sur l’acte et le certificat de naissance, un contrat tacite, hypocrite, avec consentement non éclairé nous acceptons d’être des locataires de nos corps, propriété exclusive de l’État/religion. Cela explique notre assujettissement à toute forme d’autorité qui veut notre bien. Nous sommes redevables envers nos propriétaires ; respecter le domaine juridique par les droits et privilèges octroyés en échange de devoirs et d’obligations. Une fois la location terminée, corps inerte, il doit retourner aux propriétaires. Le certificat de décès faisant foi de cette volonté inconsciente de rendre à César ce qui lui appartient.
Famille, ami.e.s, collègues, connaissances, je n’irai pas assister à votre dernier repos, ce suicide déguisé. Peut-être continuerons-nous pendant un certain temps à souhaiter la paix en nous en quittant volontairement nos corps, pensant que c’est ainsi que nous pouvons la vivre, que sans la mort il nous est interdit d’accéder à cette quiétude. La vie n’étant pas une partie de plaisir, il faudrait attendre de « passer de l’autre côté » afin d’en profiter? Ce n’est possiblement pas en une seule génération que nous pouvons reprogrammer nos cellules, notre pensée à ne plus mourir. Il n’en coûte rien d’essayer maintenant. Car de toute façon la mort ne nous appartient pas.
Merci à Annie Tremblay, directrice Web, correction, photos.
ÉDITIONS 180 DEGRÉS
FABRICATION DE L’OPINION
Où va donc choir l’électricité ou conscience une fois qu’elle n’a plus de corps? Imagine-t-on qu’elle disparait à jamais? A priori, non. Nous remplaçons l’ampoule non fonctionnelle par une nouvelle. Fiat lux.
Il est difficile d’admettre par la pensée que nous sommes énergie et que cette énergie pense et conçoive qu’elle est énergie. Notre constitution matérielle se rebute à cette idée. Or, c’est aussi ignorer que la matière n’a pas d’existence propre. Sa densité, sa dureté, le fait de la voir et de la toucher nous illusionne sur sa réalité. Si elle n’a pas de réalité à proprement dit, qu’en est-il de sa perception? Que percevons-nous donc qui nous trompe à ce point? Nous nous trompons seulement sur le concept de celle-ci. Ce qui veut dire que rien ne change dans ce que nous voyons ou touchons.
Ce que nous appelons matière n’est qu’une sensation. C’est donc la sensation de matière qui est vraie et non pas la matière elle-même puisque cette matière est encore à ce jour indéfinissable, infinie dans sa composition atomique. La sensation de matière est une cristallisation d’énergie de soi, celle que nous refusons d’être. Mais être quoi au juste?
Être Soi ou Tout. Ce refus d’être Tout par peur de l’anéantissement de soi crée des nœuds, des blocages énergétiques qui se « matérialisent ». De vie en vie nous passons le plus clair de notre temps à tenter de transcender ces obsessions matérielles qui nous pourrissent la vie ; la recherche de la richesse, le prestige, la reconnaissance, l’accumulation de biens, la crainte du manque de nourriture, l’idéalisation de la science et de la technologie, la consommation des corps par la sexualité… Des vies de désespérés par la fuite dans le divertissement mais convaincu du bien fondé qu’il s’agit bien là d’une réalité indéfectible, la seule, étant donné que tout le monde s’accorde à la vivre de la même manière. L’uniformisation de la vie comme celle de la « mort ». N’est-ce pas étrange que l’espèce humaine ait une date de péremption, plus ou moins autour de nos 80 années?
On ne condamne plus les gens qui pensent et savent que l’eau a une mémoire. Néanmoins, nos corps en sont composés. Des cellules aux mémoires millénaires répètent des processus de renouvellement, d’adaptation. D’où vient leur mémoire? Qui ou quoi les conditionne à ce labeur? Si ce n’est pas l’être humain lui-même, faudra me le démontrer. Nous sommes nos propres influences et conditionnements. La publicité, la pharmaceutique et autres programmateurs de conscience telle que l’école l’ont bien compris. Puisque nous sommes créateurs de ce que nous vivons mais que la plupart d’entre nous ignorons, des hypothèses, des théories circulent à tous les niveaux de nos sociétés pour nous faire croire à notre mortalité. Nous enregistrons ces mensonges comme des vérités, l’envoyons tel quel à notre cerveau qui lui, ordonne aux cellules de se conduire aveuglément, d’obéir à l’injonction qu’elles doivent mourir un jour. Exemple parfait de l’aberration compte tenu que l’énergie ne peut en aucun cas mourir.
La mort n’est pas naturelle. La mort ne nous appartient pas. La vieillesse se décline en tant que concept comme une pure tromperie. Elle sert à donner naissance à un autre concept tout aussi discutable qu’est la mort. Mettre un programme de mort dans chaque être humain dès le plus jeune âge et sa vie durant il s’exécutera à parvenir à son but. Il y a cependant résistance. Nous ne voulons pas mourir. Nous craignions notre propre disparition. La peur nous ravage le visage de la vie. Pourquoi, si nous ne voulons pas mourir, finissons-nous par nous convaincre d’y arriver? Parce que c’est de cela dont il est question, nous sommes convaincus que la mort existe. Retarder cette date butoir par l’amélioration de nos conditions de vie en est la preuve. Et comme cette amélioration ne prolonge pas le bonheur espéré, une porte sur la mort demeure toujours ouverte. Cette croyance ne peut être autre chose qu’un suicide.
Toutes les peurs accumulées dans notre vie face à une date ultime de transition pavent parfaitement la route en direction de nos souffrances. Ainsi, d’année en année – la notion de temps n’existant pas plus que la réalité de la mort – ces souffrances prennent de l’ampleur, alourdissent notre humanité, sclérose notre enthousiasme, notre créativité, notre débordante énergie qui finit par modifier nos corps, notre sensation corporelle. L’inertie s’installe, la peur fait son travail, la vieillesse croit et l’appelle de la mort ne tarde pas. À tout âge l’on se suicide. Quand la peur devient insupportable, que nous disons préférer mourir plutôt que d’avouer un mensonge ou passer à l’action, c’est du suicide.
Plusieurs options s’offrent à nous avant de court-circuiter notre conscience. Entretemps, donc, par la peur et l’épuisement à se battre contre soi-même pour aboutir face à sa conscience sans corps, dans un « au-delà » quelconque, la mort, nous pouvons choisir une pause par la folie, l’alzheimer, le coma. Quand cela deviendra à nouveau insupportable pour soi ou pour les autres, l’option mortelle sera envisagée.
Nous ne sommes pas libres vivants. Nous ne sommes pas libres morts. Notre vivant est régi par des lois pour nous protéger de nos peurs. Pourtant, des lois n’ont jamais protégées qui que ce soit et encore moins éradiquées la peur et la souffrance. Au contraire, elles renforcent le sentiment de crainte. Le châtiment pour autrui devient notre propre cauchemar. Les lois pour les autres, nous y sommes aussi contraint. Dès lors, tout le monde a peur d’être fautif, d’être coupable. Une couche de plus à nos peurs. Le sens des responsabilités personnelles perdues, les lois guident les zombies dans la dépendance à celles-ci, leurs vraies maîtres et Dieu.
Le vivant condamné à perpétuité à aller contre sa nature, emprisonné avec l’illusion d’être libre. Soumis, obéissant à des ordres des gouvernements, le vivant peut être à tout moment mis en prison, torturé, tué « légalement ». Seules les personnes autorisées par le pouvoir en place peuvent se permettre de telles pratiques. Les autres, au cachot.
Morts, nos corps s’empressent d’être récupérés par les marchands de la tristesse, du malheur. Impossible d’en disposer à notre guise. La mafia médicale étatique s’amuse à comploter de nouvelles théories à son sujet avant de le rendre au feu ou à la terre. Pour s’assurer de l’impact que la mort représente bien une réalité dont on ne peut se passer, des foires tombales comme lieux de visite jonchent notre planète. La mémoire, par le cimetière, ne doit pas oublier. Et pour être bien mêlé, disjoncté face à quelqu’un qui choisit de mourir, l’on nous présente deux facettes, deux réactions émotionnelles; à un proche, une personne de notre entourage nous lui souhaitons de reposer en paix puisque sa vie était tumultueuse, souffrante.
À des inconnus suite à un évènement comme un tremblement de terre, un tsunami, nous oublions la paix car ils deviennent de pauvres victimes. Lors d’un massacre, d’une guerre, pas de paix non plus mais encore plus victimes que les précédents avec un surplus de haine, de vengeance de souhaits de mort!! pour les soi-disant bourreaux. La mort comme cadeau pour certaines personnes. La mort comme punition pour les autres.
En tant que parents motivés par l’amour inconditionnel (une farce) la signature que nous apposons sur l’acte et le certificat de naissance, un contrat tacite, hypocrite, avec consentement non éclairé nous acceptons d’être des locataires de nos corps, propriété exclusive de l’État/religion. Cela explique notre assujettissement à toute forme d’autorité qui veut notre bien. Nous sommes redevables envers nos propriétaires ; respecter le domaine juridique par les droits et privilèges octroyés en échange de devoirs et d’obligations. Une fois la location terminée, corps inerte, il doit retourner aux propriétaires. Le certificat de décès faisant foi de cette volonté inconsciente de rendre à César ce qui lui appartient.
Famille, ami.e.s, collègues, connaissances, je n’irai pas assister à votre dernier repos, ce suicide déguisé. Peut-être continuerons-nous pendant un certain temps à souhaiter la paix en nous en quittant volontairement nos corps, pensant que c’est ainsi que nous pouvons la vivre, que sans la mort il nous est interdit d’accéder à cette quiétude. La vie n’étant pas une partie de plaisir, il faudrait attendre de « passer de l’autre côté » afin d’en profiter? Ce n’est possiblement pas en une seule génération que nous pouvons reprogrammer nos cellules, notre pensée à ne plus mourir. Il n’en coûte rien d’essayer maintenant. Car de toute façon la mort ne nous appartient pas.
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FABRICATION DE L’OPINION
Philippines have a 90% literacy rate. It proves that Education is of primary concern in the country.
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University of Perpetual Help System Dalta Top Medical College in Philippines
University of Perpetual Help System Dalta (UPHSD), is a co-education Institution of higher learning located in Las Pinas City, Metro Manila, Philippines. founded in 1975 by Dr. (Brigadier) Antonio Tamayo, Dr. Daisy Tamayo, and Ernesto Crisostomo as Perpetual Help College of Rizal (PHCR). Las Pinas near Metro Manila is the main campus. It has nine campuses offering over 70 courses in 20 colleges
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