Mardi, 20 octobre 2015

SE REMÉMORER ARTIFICIELLEMENT

par

Nous avions confiance en la technologie. Tout y était compilé, stocké. Pas un appareil existant sans fonction électronique. Notre mémoire naturelle n’avait rien à craindre. Elle se reposait dans le divertissement et les loisirs. Cependant qu’elle s’effacerait à nouveau.

 
Lorsqu’une nouvelle loi est mise en application, elle ne vise que rarement les comportements qui correspondent au moment où elle s’applique. Autrement dit, tous les traités entre pays, que ce soit des traités de paix, de commercialisations, de nouvelles taxes ou impôts, des règles de vie sur notre conduite en société, ne sont pas pour la génération actuelle. C’est sur le long terme que cela s’envisage, pour les générations futures qui grandiront avec ces nouvelles donnes. Celles-ci ne remettant pas en question leur pertinence puisque née dans le système. À leurs yeux cela ira de soi.

Les contestataires de l’instant, eux, manifestent, s’indignent, pétitionnent des milliers de noms pour s’opposer, se rebeller et finalement se résigner dans l’amertume. Ils tenteront tant bien que mal de s’adapter. Le mental résiste fortement aux changements de ses habitudes de confort. Il finit tout de même par se convaincre que la situation est tolérable.


 
Les autorités se faisaient rassurantes. Après tout, c’est pour cette raison que nous leur donnons notre pouvoir, afin qu’elles puissent nous garantir sécurité et bien-être pendant que nous vaquons à nos occupations quotidiennes. Les multinationales de l’alimentation, de la santé, de l’éducation, par l’entremise de leurs hautes instances - aujourd’hui l’ONU et ses tentacules, l’UNESCO, FMI, OMS - ont le même but que les organisations de l’époque. Cette époque qui est similaire à la nôtre où toute la connaissance convergeait vers les applications technologiques.

La mémoire artificielle remplaçant petit à petit celle que nous avions en tant qu’espèce humaine. Pour y arriver il ne suffisait qu’à comprendre que tous nos comportements, notre façon de réfléchir, de penser étaient programmables à volonté. Notre cerveau étant une sorte de bio-ordinateur, lui instaurer un programme qu’il exécuterait machinalement devenait un jeu d’enfant. La scolarisation/programmation dès le plus jeune âge s’avèrera être le fer de lance de cette réussite de fabrication de gens sans mémoire, de mort-vivants. Soutenu par la transformation de notre ADN avec le génétiquement modifié, les vaccins, les chemtrails, la fluoration de l’eau, la fonction des souvenirs ne serait même plus un souvenir accessible.


 
Dans ce plus ou moins lointain naguère, les transports, les communications, les objets usuels pour conserver la nourriture, fabriquer les denrées, les vêtements, en fait, tout se qui se trouvait à être consommé nécessitaient de l’électricité, de l’électronique, incluant les autres sources d’énergie telle que le nucléaire, l’éolien, le solaire. Rien qui ne soit relié de près ou de loin à cette technologie. Parallèlement, certaines personnes se demandaient pourquoi il en était ainsi. Comment tout le monde acceptait d’être dépendant de divers appareils soit-disant intelligents, aux multiples fonctions?

La virtualité qu’ils offraient s’étant travestie en pseudo réalité, nous avions oublié d’enregistrer nos propres expériences dans nos cellules, chacun vantant les mérites du potentiel infini de ces nouveaux gadgets qui pouvaient désormais s’en charger pour nous. Le sang du corps se remplacerait par l’énergie de la matrice internet, branché aux réseaux sociaux mondiaux. Le dit progrès suggérait même l’introduction sous-cutanée de la dernière merveille artificielle; la puce.


 
Quelque chose ne tournait pas rond. De plus en plus de guerres éclataient. Des cas d’autisme, de folie, de dépression, de maladie mentale, de comportements inexplicables étaient rapportés plusieurs fois par jour par diverses sources. Aucune importance pour les tenants du pouvoir. Une hiérarchie sans âge, qui remonte à la nuit des temps calquée sur le modèle de la ruche d’abeille, une mentalité d’insecte, d’animal; les ouvrières/iers travaillent à alimenter une reine, un monarque qui règne en despote sur ses sujets et remplaçables à volonté dès qu’elles/ils sont hors d’usage. Toutes et tous pour un.e mais jamais un.e pour toutes/tous malgré le discours politique ambiant.

En imposant une tâche à chaque être pour le bien commun, ceux-ci s’imaginent œuvrer pour le bien de l’humanité. Ils ne font cependant qu’exécuter les ordres des hautes instances, chapeautés par des règles, des lois, des devoirs et obligations en échange de droits (jurisprudence) et de privilèges. Un monde d’esclaves qui s’évertue à chanter les louanges d’une pseudo liberté accordée parce qu’il peut consommer à satiété et avoir l’apparence de décider quels chefs les gouvernera.


 
Les gens se vident de leur essence, de leur densité naturelle, de leur substance intrinsèque et de leur pouvoir personnel. Pas le pouvoir égotique, non. Leur pouvoir intérieur, propre à tous, au-delà de l’ego. Pour ce faire, la mémoire de qui nous sommes doit être occultée, diabolisée. La connaissance, le savoir doit être l’apanage d’une certaine élite qui donne ou pas son consentement sur des hypothèses, des théories concernant notre propre nature, la vie, l’univers. Des groupes d’experts poussent comme des champignons, toujours sous la même autorité, la reine de la ruche.

Ils formatent, changent, falsifient l’histoire, la géographie, l’astronomie, l’économie, l’éducation à leur profit. La masse doit demeurer ignorante. Les connaissances ne doivent pas éveiller les gens à eux-mêmes, les inciter à se questionner sur ce qu’ils sont venus accomplir sur ce plan terrestre. Des centaines de civilisations sont disparues depuis des siècles avec tout leur savoir génétique autant qu’intellectuel, savoir récupéré bien évidemment par les inquisiteurs au service du pouvoir, devenus des monopoles de la propagande.


 
Les millénaires se succèdent avec le même drame. Lorsque des humains s’élèvent en conscience, remettent en question leur système d’esclavagisme, la dictature de la pensée dominante s’active en parallèle pour en freiner l’élan. Les pays se soumettent l’un après l’autre au totalitarisme. Les libertés de toutes sortes disparaissent à vue d’œil alors que les prisons et camps de concentrations eux, émergent en contrepartie. Coupé de nos racines, du contact profond avec soi-même, tout étant enregistré par les innovations technologiques, notre lien intérieur s’étouffe, s’amenuise, passe à l’état de minuscule brasier.

Arrive une catastrophe majeure, planétaire où les sources de l’alimentation d’électricité disparaissent complètement de la surface terrestre en raison de l’ampleur du phénomène, que fait-on? Rien de bien sorcier. La même chose que par les millénaires passés, c’est-à-dire recommencer à zéro. La perte de tout savoir, celle contenue dans les mémoires artificielles n’étant plus accessibles, les reines du pouvoir, celles qui gardent secrètement ces connaissances, réécriront une nouvelle histoire fausse de l’humanité en nous la présentant à partir d’un monde préhistorique, déiste, créationniste et par la suite, scientiste en évolution constante, technologiquement.


 
Science-fiction. Pas du tout. À l’école, les livres remplacés par des ordinateurs et pas un mot sur le sujet. Que tout ne soit connecté qu’à une seule source d’alimentation, l’électricité, que cela ne soulève aucune inquiétude dans notre monde dit moderne, cela est de l’aveuglement volontaire ou de la mauvaise foi. L’underground scientifique, astronomique, amateurs, professionnels, chercheurs indépendants évoquent depuis des années le retour d’une certaine planète qui passe environ tout les 3650 ans dans notre système solaire. Même la NASA ne s’en cache plus. Remarquez que de toute manière elle n’a jamais été une référence, vu son haut taux de tromperie.

La « nouvelle » venue dans notre orbite aurait une dimension supérieure à la terre de plusieurs milliers de kilomètres. Sa constitution ferreuse et la proximité de son passage près de la terre ferait en sorte que tout ce qui est électronique, électrique, électromagnétique deviendra désuet et sans fonction. Tranquillement mais sûrement, elle arrive. Les premiers symptômes affectent principalement les pôles terrestres, les courants marins. Nous assistons ainsi à une multitude de catastrophes; inondation, tremblement de terre, volcan, tornade. Cependant, parce que le pouvoir de convaincre des médias de masse est sans précédent, ils ont réussis à faire accepter le dogme que tous ces phénomènes sont liés à la pollution par les bourreaux humains, que notre espèce est responsable des dérèglements planétaires.



Les écoterroristes sont ravis. Les modes environnementalistes, véganistes et autres écoloprotecteurs jubilent. Un phénomène qui exprime de manière assez juste cette perte de mémoire, l’histoire des cycles terrestres. La planète est à notre image et ressemblance, notre création. Ce que nous vivons et vivrons n’est que la manifestation de notre écoeurement de nos propres mensonges. Nous nous préparons donc à assumer ce qui en nous est vrai. Pour cela, nous nous déprogrammons, faisons table rase de tout ce qui est faux en soi, une sorte de déluge à la Noé. Ça brasse, fait peur et fait mal. Science-fiction, vraiment?
 
Merci à Annie Tremblay, directrice Web, correction, images.

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