À BAS LE COLLÈGE DES MÉDECINS!

Aux lecteurs qui ont compris le Nouveau Monde, vous constatez que le Québec se retrouverait en meilleure position financière. En taxant sur la consommation, les riches et les criminelles contribueraient enfin à notre société. Le ministère de la Justice, avec une cour moins chargée et des procès d’une heure, économiserait aussi. Et, les prisons, ce cancer de notre société, s’autofinanceraient! Certes, mais une question persiste : dans quoi investira le monde de demain?

La réponse : la santé, l’éducation et les services sociaux. À ceux qui me diront, j’espère que nous investirons un peu dans les routes. Je répondrai que la solution des routes est simple; ACHETEZ LES ESTIES DE CÔNES ORANGE AU LIEU DE LES LOUER À UNE COMPAGNIE UN DOLLAR PAR JOUR! Bref, pour ce blog, j’introduirai la révolution dans le système de la santé. Ces salles d’attente si pleine qu’il est impossible de ne pas écraser le pied de quelqu’un, heureusement, le pied est probablement déjà brisé!

Je n’ai rien contre le collège des médecins, tant qu’il ne s’exprime pas. Suis-je le seul à trouver que ce collège ne protège pas les intérêts des citoyens, mais plutôt, celui des docteurs? Le projet de loi 41, permettant aux pharmaciens de prolonger des ordonnances, les ajuster, substituer un médicament à un autre et de prescrire dans certains cas, est un bon début! Certes, mais pourquoi ne pas donner un pouvoir similaire aux infirmiers?

J’ai scruté les médecines qu’un infirmier pouvait administrer et prescrire et je dois avouer que la liste est, à mon avis, beaucoup trop mince. Je comprends qu’un médecin détienne plus de pouvoir sur un patient qu’un infirmier, après tout, il doit s’y connaître. Certes, mais qui connaît le patient par cœur? Qui lui parle, l’aide, l’écoute et le comprend ? À qui le patient se confit-il? Un infirmier m’a déjà raconté qu’un médecin trop pressé lui ordonnait d’administrer de la pénicilline à un patient allergique à ce produit. Par chance, l’infirmier a eu assez de jugeote pour empêcher le drame!

Et qu’en est-il des autres médecines? Ceux que l’on qualifie de sorcelleries en pointant du doigt le naturopathe! Il utilise des herbes et des méthodes inconnues, pendez le sur le champ! Pourquoi ne pas approfondir ces recherches? J’aimerais une société où le collège des médecins serait remplacé par une chambre de spécialistes de tous les milieux. Le savoir des médecins est basé sur la pathologie, l’étude des morts. Nous pourrions, par exemple, laisser une plus grande place aux biologistes qui étudient la vie. Ainsi, nous aurions, oui l’avis des docteurs (non négligeable), mais aussi celle des autres médecines moins connues.

J’ai moi-même déjà vu un proche avoir recours à la massothérapie pour régler un petit problème mineur; il ne pouvait plus marcher. Le médecin ne trouvait ni la cause, ni la solution. En l’examinant, le massothérapeute a senti le problème et grâce à lui, mon frère marche aujourd’hui! Je ne mets pas tous les docteurs dans le même bateau, mais ne pourrions-nous pas élargir nos solutions? Que coûterait l’expérience? Si elle est menée par le gouvernement, sous supervision des médecins et des infirmiers, je pense que nous obtiendrions de magnifiques résultats!

Si c’est simple, pourquoi l’expérience n’a-t-elle pas été tentée? Car nous vivons dans un monde corrompu de l’os à la moelle, du cœur à la tête; un maudit monde pourrit! Un monde où les compagnies pharmaceutiques paient des congrès dans le sud aux docteurs! Nous revenons à la source du problème, l’argent et la corruption! Ceux qui détiennent le pouvoir, ne souhaite pas le perdre! Soit, nous leur enlèverons! Il existe d’autres chemins, d’autres solutions. Pour les voir, il suffit de s’ouvrir les yeux et ensuite, l’esprit.

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