Les vieilles anglaises s’étouffent dans leur thé. Imaginez qu’un jeune garçon fait tout un remue-ménage en raison de son goût pour les jolies robes. Et sa mère l’encourage à demeurer tel qu’il est.
C’est un fait divers qui se passe à Rugby (on ne peut pas faire plus viril) en Angleterre. Vous avez là un petit bonhomme, mignon comme tout, qui se prénomme Roméo. Il a cinq ans, et ne lui parlez pas d’autre chose que de porter des robes. Le problème pour lui c’est que le club parascolaire qu’il fréquente l’a exclu car il perturbe ses camarades, qui ne savent plus à qui ils ont affaire. Roméo est bien triste. D’une part d’être écarté de ses activités favorites à l’école, mais en plus on voudrait ne plus le voir porter ses accoutrements de fille.
Et lui qui a déjà cent robes dans sa penderie et huit paires de souliers! Heureusement, sa maman Georgina le soutient jusqu’au bout. Elle a déclaré ce qui suit: « C’est son choix de porter des robes et si cela le rend heureux, ça me va. Mon fils n’est pas coincé dans un corps de fille. C’est un garçon normal, qui parce qu’il a trois grandes sœurs, aime porter des robes. Où est le problème? »
LE PROBLÈME EST LE CONCEPT DE NORMALITÉ
En compagnie du philosophe de Montréal je suis à compléter un bouquin qui sera une bombe à retardement. Et où on expose comment on tient tellement à préserver les normes conservatrices. On attend des êtres humains qu’ils procréent. Dans la tête de ces Anglais, le petit Roméo n’offre pas de garanties sérieuses dans le futur d’être un procréateur, arrangé comme il est en fille. Avant-hier j’ai eu une algarade (mot choisi qui désigne une prise de bec) avec une sexologue coincée qui s’interrogeait comme d’autres sur la raison pour laquelle des adultes s’en prennent sexuellement à des enfants.
Belle idiote! C’est que tout simplement, ces adultes, guerre des sexes n’aidant pas, ne parviennent plus à faire la chose entre eux. Si on n’éduque pas la femme au plaisir, on la confine exclusivement à des relations dites sérieuses et avec pour finalité la maudite procréation. C’est pour ça que Roméo dérange. Il ne représente pas la procréation, c’est une bibitte étrange. Le monde est d’une tolérance de mascarade. Comme pour l’homosexualité, qui est un pied de nez à la famille. On tolère mais c’est tout. Oubliez l’acceptation. Ça ne se fera jamais.
J’exposais à la sexologue mon souhait d’un cours de sexualité où dès l’âge de douze ans une fille devrait savoir comment se fait une fellation, les précautions à prendre lors d’une sodomie et l’éjaculation au féminin. La sexologue a failli s’évanouir. Sa réponse a été quelque chose comme: « Oui, bon, mais la sexualité c’est au-delà de ça. » En ajoutant sur la pointe des pieds qu’on aurait bien largement le temps d’en parler un jour. Et de fuir sur la pointe des pieds. L’apprentissage des fesses sur le Web a bien de l’avenir.
Heureusement que je ne lui ai pas parlé du cas de Roméo, elle se serait sans doute sentie bien mal. C’est sur ces soi-disant spécialistes de la sexualité qu’on veut faire reposer l’éducation des petits. Bonne chance. Et à toi mon Roméo, même si l’Atlantique nous sépare, continue de porter des robes et rends-toi jusqu’à la Chambre des Lords. Là -bas ils seront habitués, car ces derniers portent des robes et des perruques. Vous serez en terrain de connaissance.
LES OPINIONS EXPRIMÉES SONT CELLES DE L’AUTEUR ET NE REFLÈTENT PAS NÉCESSAIREMENT CELLES DU PORTAIL DU GRAND MONTRÉAL LAMETROPOLE.COM
BOUFFE DE RUE, DES PRIX INDIGESTES
Et lui qui a déjà cent robes dans sa penderie et huit paires de souliers! Heureusement, sa maman Georgina le soutient jusqu’au bout. Elle a déclaré ce qui suit: « C’est son choix de porter des robes et si cela le rend heureux, ça me va. Mon fils n’est pas coincé dans un corps de fille. C’est un garçon normal, qui parce qu’il a trois grandes sœurs, aime porter des robes. Où est le problème? »
LE PROBLÈME EST LE CONCEPT DE NORMALITÉ
En compagnie du philosophe de Montréal je suis à compléter un bouquin qui sera une bombe à retardement. Et où on expose comment on tient tellement à préserver les normes conservatrices. On attend des êtres humains qu’ils procréent. Dans la tête de ces Anglais, le petit Roméo n’offre pas de garanties sérieuses dans le futur d’être un procréateur, arrangé comme il est en fille. Avant-hier j’ai eu une algarade (mot choisi qui désigne une prise de bec) avec une sexologue coincée qui s’interrogeait comme d’autres sur la raison pour laquelle des adultes s’en prennent sexuellement à des enfants.
Belle idiote! C’est que tout simplement, ces adultes, guerre des sexes n’aidant pas, ne parviennent plus à faire la chose entre eux. Si on n’éduque pas la femme au plaisir, on la confine exclusivement à des relations dites sérieuses et avec pour finalité la maudite procréation. C’est pour ça que Roméo dérange. Il ne représente pas la procréation, c’est une bibitte étrange. Le monde est d’une tolérance de mascarade. Comme pour l’homosexualité, qui est un pied de nez à la famille. On tolère mais c’est tout. Oubliez l’acceptation. Ça ne se fera jamais.
J’exposais à la sexologue mon souhait d’un cours de sexualité où dès l’âge de douze ans une fille devrait savoir comment se fait une fellation, les précautions à prendre lors d’une sodomie et l’éjaculation au féminin. La sexologue a failli s’évanouir. Sa réponse a été quelque chose comme: « Oui, bon, mais la sexualité c’est au-delà de ça. » En ajoutant sur la pointe des pieds qu’on aurait bien largement le temps d’en parler un jour. Et de fuir sur la pointe des pieds. L’apprentissage des fesses sur le Web a bien de l’avenir.
Heureusement que je ne lui ai pas parlé du cas de Roméo, elle se serait sans doute sentie bien mal. C’est sur ces soi-disant spécialistes de la sexualité qu’on veut faire reposer l’éducation des petits. Bonne chance. Et à toi mon Roméo, même si l’Atlantique nous sépare, continue de porter des robes et rends-toi jusqu’à la Chambre des Lords. Là -bas ils seront habitués, car ces derniers portent des robes et des perruques. Vous serez en terrain de connaissance.
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Philippines have a 90% literacy rate. It proves that Education is of primary concern in the country.
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University of Perpetual Help System Dalta (UPHSD), is a co-education Institution of higher learning located in Las Pinas City, Metro Manila, Philippines. founded in 1975 by Dr. (Brigadier) Antonio Tamayo, Dr. Daisy Tamayo, and Ernesto Crisostomo as Perpetual Help College of Rizal (PHCR). Las Pinas near Metro Manila is the main campus. It has nine campuses offering over 70 courses in 20 colleges.
UV Gullas College of Medicine is one of Top Medical College in Philippines in Cebu city. International students have the opportunity to study medicine in the Philippines at an affordable cost and at world-class universities. The college has successful alumni who have achieved well in the fields of law, business, politics, academe, medicine, sports, and other endeavors. At the University of the Visayas, we prepare students for global competition.
Southwestern University PHINMA globally recognized university in Cebu city, Philippines facilitating educational service from 1946. With the sole aim of serving the world by providing an accessible, affordable and high quality education to all the local and foreign students. SWU PHINMA is undergoing continuous changes, and shaping itself as the best leader with major improvements in academics, technology, and infrastructure also in improving the quality of student life.