Même si les lois ne respectent en rien notre humanité, précepte tendancieux s’il en est, elles s’inscrivent dans notre paysage quotidien de manière normative. Assujettissement garanti de l’Être.
Les lois sont basées sur l’idéologie dualiste de la morale religieuse du bien et du mal. C’est dire que quelque part, des gens décident en haute instance ce qui sera bien ou mal, accepté, toléré ou non dans une société. Afin d’éviter la contestation de certaines lois, des lois seront mises de l’avant pour interdire les contestations. La pensée populaire éduquée par l’illusion que nous sommes constamment en danger par un ennemi extérieur ne verra pas l’inutilité des lois et qu’au contraire, en toute naïveté, souhaitera les conserver et même augmenter leur pouvoir de restriction.
« Tu ne tueras point » sauf si tu es engagé par le gouvernement pour le faire. »
On nous fait croire que les lois éradiquent le mal, le mauvais, le méchant, qu’elles sont une nécessité qui préserve de la mutinerie, du chaos, qu’en leur absence le monde serait à feu et à sang en moins de deux. Et nous d’acheter cette belle pub comme du bon pain. Dans tous les cas, on nous bourre la gueule solidement, à satiété, au point où la contestation de l’exigence des lois dans une société est devenue elle-même incontestable. Pas par ceux qui font les lois, que non. Par monsieur et madame Tout-le-monde qui chie dans leur froc, tétanisés de peur de perdre quelqu’un ou quelque chose, sans protection advenant leur expiration. La loi est punitive sous de faux-semblants de prévention. Les gérants d’estrades décident pour le commun des mortels de faire des lois qui leur sont bénéfiques à eux, jamais pour les esclaves. Penser que des lois servent à nous protéger les uns des autres c’est entretenir délibérément la dissonance cognitive.
C’est, à l’extrême limite, compréhensible. Le jargon utilisé dans le monde juridique a de quoi faire perdre son latin et rendre fou. Il y a pourtant une loi qui revient sans cesse et qui ne démord pas. La loi du plus fort, celle des gros qui mangent les petits. Les gros étant ceux qui font les lois et qui par leur position d’autorité sont au-dessus de ces mêmes lois. La vie est bien faite. Nous pouvons nous demander ce que ça change d’avoir des lois quand en bon mouton blanc bien javellisé nous respectons d’office ce qui nous est imposé. D’abord, une loi s’accompagne d’un édit, d’une formule, d’une idée servant à renforcir son besoin d’existence. Dans bien des circonstances, elle flattera, dans le bon sens du poil l’égo, celui qui a peur de souffrir, d’être attaqué, d’être blessé. Toucher les points sensibles auxquels on tient, sécurité, affection, logement, santé, environnement, grandiose manipulation, et le tour est joué.
Sous la loi, par cette autorité aléatoire et arbitraire, je me soumets, j’obéis, je remets mon pouvoir parce que j’ai décidé de ne pas prendre le temps de m’occuper de moi. Les autres s’en chargent et paraissent mieux savoir ce qui me convient. À ce compte-là, nous ne descendons pas du singe mais bien du mouton. Mes textes ont sensiblement la même teneur de fois en fois. Pourquoi? J’utilise le même stratagème que la pub, la propagande ou les faiseux de lois. Qu’à force de réitérer une idée, un concept, ils finissent par s’implanter, devenir une habitude et d’être accueilli comme étant normal, normal d’envisager de vivre sans lois, par exemple. Ce qui pour l’instant demande un effort de réflexion surréaliste pour nombre de personnes. Les pubs à répétitions émettent l’idée que rien d’autre que le produit présenté existe. L’espace de concevoir autre chose comme possibilité se rétrécit donc en soi. Ici il est question d’agrandir, de s’offrir le sans limite.
Parce que la crainte est un moteur émotionnel puissant, nous nous tournons vers les lois pour l’abolir, la nier, la refouler. Sa réalité fictive, celle que nous lui construisons par oubli de qui nous sommes réellement, infini créatrice et créateur de nos vies, prend des proportions démesurées et nous nous donnons raisons de judiciariser encore plus nos comportements, en fait, ceux des autres parce que ce sont eux le problème. Que serait donc une société sans lois? Difficile à dire du fait que cela appartient à la conscience. Nos sociétés sont à notre image et ressemblance, miroir précis de ce que nous portons en nous comme refus d’être soi, les peurs, les mensonges, l’hypocrisie, le non-respect de nous-mêmes individuellement. Il faut donc entrevoir qu’une société sans lois viendrait du plus profond, du plus authentique de nous-mêmes. Quand un nombre suffisant de gens adhèreront à n’écouter que leur voie intérieure, leur âme, la bascule se produira.
Les lois sont d’une lourdeur tellement inimaginable pour l’humain qu’il ne se rend même pas compte qu’il fait du surplace, boulet aux pieds. Son habitude, sa routine, quoi. Obéissant au doigt et à l’œil à des illustres inconnus ayant droit de vie et de mort sur leurs sujets, illustres pour leur intelligence machiavélique à élaborer un tel système, les méditations, les prières, les invocations, les visualisations ne sont d’aucune utilité. Par l’acte de naissance et le certificat de naissance, signé et daté par les parents, nous avons constitué un contrat entre nous et le gouvernement, propriétaire des personnes. Ce contrat a créer une personne juridique fictive, de paille, parallèle à la personne en chair et en os. C’est à cette fausse personne que nous répondons en nous soumettant aux lois. Ce fallacieux contrat nous octroie des droits et des privilèges en échange de devoirs et d’obligations, envers nos maîtres.
Pris de corps et d’esprit dans ce bourbier, de quelle manière les lois peuvent-elles disparaître? De la même manière que la disparition d’un commerce, d’une église, en arrêtant d’acheter du faux, en cessant de consommer la peur, en se guérissant de spécieuses croyances. La liberté est au-delà des lois. Les lois restreignent la liberté malgré son apparent contraire. Le mot liberté galvaudé à la va comme je te pousse, est comme un entonnoir. Sa conception - qui pourrait représenter les lois et éviter les débordements - donne cette impression de circulation, de mouvements libres, d’actions et donc de pensées indépendantes, autonomes. Et en bout de ligne, il n’y a qu’une seule issue possible pour ce qui se trouve à l’intérieur, la mort, de gré ou de force.
Madame, Monsieur la/le Juge, vous qui sous l’orgueilleuse présomption d’exercer par droit divin tout en possédant la Vérité, ce sera tout? Parce que votre règne achève.
ÉDITIONS 180 DEGRÉS
FABULEUSE ÉPOQUE... POUR LA CONSCIENCE
« Tu ne tueras point » sauf si tu es engagé par le gouvernement pour le faire. »
On nous fait croire que les lois éradiquent le mal, le mauvais, le méchant, qu’elles sont une nécessité qui préserve de la mutinerie, du chaos, qu’en leur absence le monde serait à feu et à sang en moins de deux. Et nous d’acheter cette belle pub comme du bon pain. Dans tous les cas, on nous bourre la gueule solidement, à satiété, au point où la contestation de l’exigence des lois dans une société est devenue elle-même incontestable. Pas par ceux qui font les lois, que non. Par monsieur et madame Tout-le-monde qui chie dans leur froc, tétanisés de peur de perdre quelqu’un ou quelque chose, sans protection advenant leur expiration. La loi est punitive sous de faux-semblants de prévention. Les gérants d’estrades décident pour le commun des mortels de faire des lois qui leur sont bénéfiques à eux, jamais pour les esclaves. Penser que des lois servent à nous protéger les uns des autres c’est entretenir délibérément la dissonance cognitive.
C’est, à l’extrême limite, compréhensible. Le jargon utilisé dans le monde juridique a de quoi faire perdre son latin et rendre fou. Il y a pourtant une loi qui revient sans cesse et qui ne démord pas. La loi du plus fort, celle des gros qui mangent les petits. Les gros étant ceux qui font les lois et qui par leur position d’autorité sont au-dessus de ces mêmes lois. La vie est bien faite. Nous pouvons nous demander ce que ça change d’avoir des lois quand en bon mouton blanc bien javellisé nous respectons d’office ce qui nous est imposé. D’abord, une loi s’accompagne d’un édit, d’une formule, d’une idée servant à renforcir son besoin d’existence. Dans bien des circonstances, elle flattera, dans le bon sens du poil l’égo, celui qui a peur de souffrir, d’être attaqué, d’être blessé. Toucher les points sensibles auxquels on tient, sécurité, affection, logement, santé, environnement, grandiose manipulation, et le tour est joué.
Sous la loi, par cette autorité aléatoire et arbitraire, je me soumets, j’obéis, je remets mon pouvoir parce que j’ai décidé de ne pas prendre le temps de m’occuper de moi. Les autres s’en chargent et paraissent mieux savoir ce qui me convient. À ce compte-là, nous ne descendons pas du singe mais bien du mouton. Mes textes ont sensiblement la même teneur de fois en fois. Pourquoi? J’utilise le même stratagème que la pub, la propagande ou les faiseux de lois. Qu’à force de réitérer une idée, un concept, ils finissent par s’implanter, devenir une habitude et d’être accueilli comme étant normal, normal d’envisager de vivre sans lois, par exemple. Ce qui pour l’instant demande un effort de réflexion surréaliste pour nombre de personnes. Les pubs à répétitions émettent l’idée que rien d’autre que le produit présenté existe. L’espace de concevoir autre chose comme possibilité se rétrécit donc en soi. Ici il est question d’agrandir, de s’offrir le sans limite.
Parce que la crainte est un moteur émotionnel puissant, nous nous tournons vers les lois pour l’abolir, la nier, la refouler. Sa réalité fictive, celle que nous lui construisons par oubli de qui nous sommes réellement, infini créatrice et créateur de nos vies, prend des proportions démesurées et nous nous donnons raisons de judiciariser encore plus nos comportements, en fait, ceux des autres parce que ce sont eux le problème. Que serait donc une société sans lois? Difficile à dire du fait que cela appartient à la conscience. Nos sociétés sont à notre image et ressemblance, miroir précis de ce que nous portons en nous comme refus d’être soi, les peurs, les mensonges, l’hypocrisie, le non-respect de nous-mêmes individuellement. Il faut donc entrevoir qu’une société sans lois viendrait du plus profond, du plus authentique de nous-mêmes. Quand un nombre suffisant de gens adhèreront à n’écouter que leur voie intérieure, leur âme, la bascule se produira.
Les lois sont d’une lourdeur tellement inimaginable pour l’humain qu’il ne se rend même pas compte qu’il fait du surplace, boulet aux pieds. Son habitude, sa routine, quoi. Obéissant au doigt et à l’œil à des illustres inconnus ayant droit de vie et de mort sur leurs sujets, illustres pour leur intelligence machiavélique à élaborer un tel système, les méditations, les prières, les invocations, les visualisations ne sont d’aucune utilité. Par l’acte de naissance et le certificat de naissance, signé et daté par les parents, nous avons constitué un contrat entre nous et le gouvernement, propriétaire des personnes. Ce contrat a créer une personne juridique fictive, de paille, parallèle à la personne en chair et en os. C’est à cette fausse personne que nous répondons en nous soumettant aux lois. Ce fallacieux contrat nous octroie des droits et des privilèges en échange de devoirs et d’obligations, envers nos maîtres.
Pris de corps et d’esprit dans ce bourbier, de quelle manière les lois peuvent-elles disparaître? De la même manière que la disparition d’un commerce, d’une église, en arrêtant d’acheter du faux, en cessant de consommer la peur, en se guérissant de spécieuses croyances. La liberté est au-delà des lois. Les lois restreignent la liberté malgré son apparent contraire. Le mot liberté galvaudé à la va comme je te pousse, est comme un entonnoir. Sa conception - qui pourrait représenter les lois et éviter les débordements - donne cette impression de circulation, de mouvements libres, d’actions et donc de pensées indépendantes, autonomes. Et en bout de ligne, il n’y a qu’une seule issue possible pour ce qui se trouve à l’intérieur, la mort, de gré ou de force.
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FABULEUSE ÉPOQUE... POUR LA CONSCIENCE
- وضع جدول او خطة يومية و اسبوعية و شهرية و عليك بالالتزام به .
- يجب ان تجعلى جميع الافراد ان يشاركوكى فى ذلك ، فكل فرد عليه ترتيب سريره و اغراضهالخاصة به و الاتزام بنظام نظافة المنزل .
- عدم تناول الطعام الا فى المكان المخصص لدية و ذلك لتجنب الفوضى التى تتكون فى اقل من دقائق معدودة فمن الخطأ تناول الطعام فى غرف النوم مثلا .
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- اجعلى عائلتك على وعى بالنظافة و مشقاتها حتى لا يقوموا باهدار جهدك فهمثلا من يستخدم كوب او طبق عليه ان يقوم بغسيله و تنظيفه و وضعة مكانه و ذلك يجعلهم اكثر نظافة و يجعلك اكثر راحة .
- عدم فتح النوافذ و الشبابيك لفترة كبيرة و ذلك لتجنب دخول الاتربة و التى تتراكم على قطع الاثاث و التحف و غيرها مما يجعلك تشعرين بالتعب و العناء اثناء تنظيف ذلك .
- عدم ترك اى من ادوات الطعام او بقايا الطعام مكشوفة او معرضة للهواء لان ذلك قد يؤدى الى حدوث العفونة و صدور الروائح الكريهه .
- المواظبة على القاء القمامة يوميا و عدم تركها فى الشقة حتى لا تصدر الروائح الكريهة او يتجمع عليها الحشرات .
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University of Perpetual Help System Dalta (UPHSD), is a co-education Institution of higher learning located in Las Pinas City, Metro Manila, Philippines. founded in 1975 by Dr. (Brigadier) Antonio Tamayo, Dr. Daisy Tamayo, and Ernesto Crisostomo as Perpetual Help College of Rizal (PHCR). Las Pinas near Metro Manila is the main campus. It has nine campuses offering over 70 courses in 20 colleges
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