Dans ce cinquième blogue, j’aborderai un sujet très chaud qui est celui de la diversité des religions et de la conscience universelle. Le concept des religions implique la présence de croyants. Un croyant est une personne qui accepte une idée, une idéologie et une notion qui lui sont présentées en relation avec la possibilité d’une divinité. Comme la condition humaine est semblable pour tous les êtres humains, le fait que la vie soit éphémère sème des doutes et des interrogations dans l’esprit des gens.

La naissance, la croissance, l’âge adulte et la dégénérescence menant à la vieillesse sont les étapes précédant la mort. L’incarnation de l’ego favorise le développement de l’expérience et la stabilisation de la personnalité d’un individu. Il y a des gens dont l’esprit est fermé et qui rejettent toute possibilité de continuation d’existence après la mort. Leur manque de souplesse n’en fait pas des êtres dénués d’humanité, mais pour les plus inconscients, si aucun but évolutif ne trace le chemin de leurs actions, rien n’empêchera la commission de tout acte qui pourrait être considéré comme répréhensible par les normes de bienséance et de civisme. S’il n’y aucune conséquence à nos actions, ni aucune réaction de l’univers face à celles-ci, pourquoi serions-nous dirigés et donc limités par un guide de bonne conduite?



Plus une personne devient consciente, plus elle doit contempler l’idée d’une continuité et d’un but à la vie. Comme peu d’entre nous avons accès à des informations réelles quant au sort qui nous attend dans l’au-delà, la majorité d’entre nous avons adopté des croyances religieuses. Plus les idées avancées nous séduisent, plus elles correspondent à la projection que nous avons nous-mêmes de ce que devrait être la vie après la vie.

Alors, les modèles proposés deviendront nôtres et nos croyances se fondront dans une collectivité qui régit les normes de conduite déterminées par telle ou telle religion. 

La suite la semaine prochaine.

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L’EGO CONFLIT SUR LA TERRE! (fin)